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L’implantation ionique est une technique qui permet de modifier la surface des matériaux en y injectant des atomes à la profondeur désirée, et en quantité précise. Elle est largement utilisée pour le dopage des semiconducteurs lors de la fabrication de circuits intégrés à très haute échelle (VLSI). Étant un phénomène fortement hors-équilibre (les atomes incidents ont typiquement des énergies des millions de fois plus élevées que celle des atomes du matériau) l’implantation génère souvent, à l’échelle atomique, de nouvelles structures qui peuvent, selon le cas, être exploitées pour améliorer les performances de matériaux de haute technologie, ou constituer un problème à contourner.
Par exemple, pendant le dopage, l’implantation engendre des défauts dans les semiconducteurs en déplaçant des atomes du cristal, ce qui est néfaste pour les circuits intégrés. Si le nombre de défauts n’est pas trop élevé, le dommage pourra être corrigé par recuit thermique et le dopant activé. Toutefois, si la densité de défauts dépasse un certain seuil, des dommages permanents apparaîtront dans le matériau et peuvent rendre inutilisables les dispositifs.
À l’inverse, l’implantation ionique génère des défauts qui peuvent être utilisés pour modifier les matériaux. En effet, l’implantation permet de créer, près de la surface, des défauts qui peuvent par la suite diffuser dans le matériau et modifier la composition de couches enfouies par interdiffusion. On peut ainsi changer la longueur d’onde d’émission de puits ou points quantiques et les propriétés de couches magnétiques.
Les faisceaux d’ions permettent en outre de mesurer de façon quantitative et extrêmement sensible la distribution en profondeur des atomes dans un matériau. Nous disposons dans nos laboratoires de plusieurs techniques d’analyse par faisceaux d’ions, notamment la Détection de Reculs Élastiques (ERD), technique inventée dans nos laboratoires dans les années 70, ainsi que l’analyse par Spectrométrie de Rétrodifussion Rutherford (RBS), la canalisation (RBS channeling) et l’Analyse par Réactions Nucléaires Résonnantes (NRRA).
Mes principaux champs d’intérêt en recherche sont actuellement :
http://feynman.lps.umontreal.ca/~schiette/
Parcours académique
Ph.D. en physique, University of Cambridge (1986)
B.Sc. en physique, McGill University (1982)
Mon groupe travaille dans le domaine de la théorie de la matière condensée. Nous nous intéressons aux systèmes présentant des propriétés inhabituelles souvent liées à l’ordre topologique ou aux interactions fortes.
Plus précisément, nous étudions
Ph.D. (Pitt. 1987)
Professeur de physique James McGill
Intérêts de recherche
La recherche théorique de mon groupe est axée sur deux domaines principaux : la théorie et la modélisation du transport électronique quantique en nanoélectronique, et la physique des matériaux en nanotechnologie. Une compréhension qualitative de notre programme de recherche peut être observée à partir de la liste des publications. Dans l’ensemble, nos travaux sont centrés sur l’innovation des méthodes théoriques et informatiques de premier principe.
En nanoélectronique, nous développons des formalismes théoriques et des outils de calcul associés pour calculer les propriétés de transport quantique. En particulier, nous sommes les premiers à avoir développé avec succès le formalisme de transport quantique sans équilibre des premiers principes où une théorie de champ auto-consistante de type fonctionnelle de densité (DFT) est réalisée dans le formalisme de la fonction de Green sans équilibre de Keldysh (NEGF). Voici l’article original de la NEGF-DFT. Vous pouvez trouver plus d’informations sur les recherches que nous menons sur le transport quantique en cliquant sur le lien suivant.
En physique des matériaux, une nouvelle technique très intéressante, extrêmement efficace et puissante que nous avons développée est la méthode de structure électronique en espace réel appelée RESCU, basée sur la DFT de Kohn-Sham. Jusqu’à présent, nous avons appliqué RESCU pour résoudre des problèmes comportant plus de dix mille atomes en utilisant uniquement de petites grappes d’ordinateurs. Ce progrès nous permet d’étudier des problèmes réalistes de physique des matériaux, ce qui n’était pas possible auparavant. L’article technique de RESCU est disponible ici. Vous pouvez trouver plus d’informations sur notre recherche sur les matériaux en cliquant sur le lien suivant.
Responsable d’un laboratoire de physique théorique et computationnelle du Département de physique et de l’Institut Quantique de l’Université de Sherbrooke. Nos recherches se situent au carrefour de la matière quantique et de la physique computationnelle. Nous construisons et étudions des modèles de systèmes quantiques pour découvrir et comprendre des phénomènes passionnants. Nous développons également des méthodes numériques pour résoudre des problèmes de physique et interdisciplinaires, notamment en relation avec l’information quantique et l’intelligence artificielle.
Au niveau du nanomètre, les frontières traditionnelles entre la physique, la chimie, l’ingénierie et les sciences de la vie disparaissent. La physique, et en particulier une formation en techniques de sondes à balayage, est une excellente base pour contribuer de manière significative au domaine émergent des nanotechnologies.
Le groupe Grutter est motivé par des questions scientifiques fondamentales passionnantes. Nous inventons, concevons, construisons et modifions des microscopes à force atomique et des instruments connexes. Ces outils sont utilisés pour manipuler et étudier la relation structure-propriété des systèmes à l’échelle nanométrique. Nous sommes leader mondial dans la combinaison de la résolution spatiale à l’échelle nanométrique avec la résolution temporelle femtoseconde. Notre groupe est intéressé à traduire nos découvertes scientifiques fondamentales en applications commerciales et est ouvert à des collaborations industrielles fructueuses.
Delphine Bouilly complète ses années d’études à l’Université de Montréal en 2013 avec l’obtention d’un doctorat en physique. Elle s’envole ensuite pour New York afin d’y effectuer un stage postdoctoral à Columbia University, au laboratoire de Colin Nuckolls. Elle y développe une expertise en conception de capteurs électroniques miniatures, en particulier pour la mesure de mécanismes à l’échelle moléculaire.
Elle joint l’équipe de l’IRIC en 2017 à titre de chercheuse principale de l’Unité de recherche de conception et application de nanobiocapteurs électroniques.
Chaire de recherche industrielle CRSNG-IBM Canada en encapsulation microélectronique pour l’échelonnement de la performance
Département de génie électrique et de génie informatique,
Faculté de génie
Micro et nanofabrication, nanoélectronique, nanomatériaux
Développement de dispositif nanoélectronique à faible consommation d’énergie (fabrication de transistor à nanofil de Si / SiGe, à nanotube de carbone, film mince de silicium et monoélectronique), intégration sur CMOS de fonction innovante (capteurs gaz/contrainte/humidité, mémoire résistive à oxyde métallique, circuit faible consommation)
Professeur associé (Ingénierie Physique), débuté en janvier 2014
Courriel : s.kena-cohen@polymtl.ca
BEng génie électrique (avec distinction), Université McGill, mineure en physique
Doctorat à l’Université de Princeton (et chercheur invité à l’Université du Michigan) avec Stephen R. Forrest
Postdoc et chercheur junior à l’Imperial College London avec Stefan A. Maier (maintenant @LMU) et Donal DC Bradley (maintenant @KAUST)
J’ai eu la chance d’être né au Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse. J’ai fait mon B. Sc. Honneurs en physique à l’Université St. Francis Xavier travaillant avec Barry Wallbank sur la diffusion des molécules d’électrons dans des champs de lumière intenses, j’ai ensuite déménagé à Edmonton pour faire un doctorat en physique à l’Université de l’Alberta dans le groupe de Frank Hegmann, étudiant dynamique des porteurs ultrarapides dans les nanostructures semi-conductrices. J’ai ensuite déménagé au Danemark en tant que post-doctorant HC Ørsteds dans le groupe THz de Peter Jepsen à DTU, continuant en tant qu’assistant puis professeur associé. En 2011, j’ai décidé de revenir au Canada pour démarrer le laboratoire de photonique ultrarapide THz au département de physique de McGill. Je suis maintenant professeur associé titulaire et directeur du Centre de physique des matériaux.
Semiconducteurs, Nanomatériaux, Micro et nanoélectronique, Optique et photonique, Membranes
Génie électrique et génie électronique, Physique
biocapteurs, diodes laser, intégration photonique, nanofabrication, photovoltaïque concentré
Étude et développement de techniques de micro / nano-fabrication appliquées au domaine de la micro-électronique et de la photonique: fabrication de composants photoniques complexes intégrés, technologies de microfabrication 3D, application telecom, biomédical et composants photovoltaïques à très haute efficacité (CPV)
Nanomatériaux, Robotique et Automatisme, Semi-conducteur, Solaire et Eolien, Surfaces, Interfaces et Couches Minces
Génie électrique et génie électronique, Génie mécanique
J’étudie de nombreux aspects de l’épitaxie des semi-conducteurs, de la technologie des outils aux processus et matériaux avancés. Mes principaux champs d’intérêt sont le photovoltaïque, l’électronique de puissance et la photonique
Les recherches d’Antonella Badia portent sur l’assemblage moléculaire et la caractérisation de couches organiques ultraminces, structurées à l’échelle nanométrique. Celles-ci pourront servir de biomembranes modèles, de matrices pour le dépôt sélectif de nanomatériaux, ou à l’actuation électrochimique de dispositifs micromécaniques.
Je suis un expert des expériences pour sonder les propriétés thermodynamiques, magnétiques, et du transport dans les champs magnétiques intense et à températures très basses. Mon expertise comprend la croissance et la caractérisation des matériaux de pointe entre autres des quasi-cristaux, des isolants fortement corrélés, et des supraconducteurs , et des aimants frustrés.
Micro-ondes et hyperfréquence, Circuits intégrés, Communications personnelles
Génie électrique et génie électronique
Conception, fabrication et caractérisation de composants passifs micro-usinés. Caractérisation des bétons par mesures hyperfréquences. Conception et développement de MMIC. Composant THz.
Métaux et alliages, supraconducteurs, transitions de phases
Comprendre microscopiquement l’influence d’une très forte anisotropie spatiale sur l’établissement d’ordre à longue distance, pour les états de symétrie brisée de type antiferromagnétique, supraconducteur et structural.
Optique et photonique, Imagerie, Micro et nanoélectronique, Nanosystèmes
Génie biomédical et génie biochimique, Génie électrique et génie électronique
Conception d’intruments biophotoniques pour la mesure de propriétés des tissus vivants. Interactions lumière matière à l’échelle nanométrique
Intégration 3D de microsystèmes et supra, instrumentation pour radiations, applications cryogénique à grande surface
Micro et nanofabrication avancées pour la création de nouveaux microsystèmes et composants semiconducteurs et supraconducteurs, microsystème de comptage de photons par intégration 3D, intégration 3D de systèmes supraconducteurs, intégration et caractérisation de TSV à isolation organique dans puces CMOS, procédé d’assemblage 3D, interposeur à fonctionnalités avancées, projet imageur infrarouge SPAD à performance ultime (<10ps), résonateurs supraconducteurs de type SIW, composants Josephson par nanodamascène
Recherche d’intérêts
Affiliation(s)
Type(s) d’expertise (sujets du CRSNG)
Les activités de recherche du Groupe de physique de la matière condensée portent sur l’étude des propriétés physiques et technologiques des couches minces, des surfaces et des interfaces dans les domaines des matériaux et procédés pour la microélectronique et la nanoélectronique, la photonique et les revêtements fonctionnels.
Ces recherches visent à comprendre de manière fondamentale les systèmes physiques offrant un potentiel important de développements technologiques.
S’appuyant à la fois sur une solide base expérimentale et théorique, les chercheurs bénéficient, notamment par leur appartenance au Groupe de recherche en physique et technologie des couches minces (GCM), de ressources considérables.
Les sujets de recherche, variés et complémentaires, portent notamment sur :
Popriétés de transport du gaz d’électrons bidimensionnel dans les microstructures quantiques (GaAs-AlGaAs, ZnO), et le graphène
Micro et Nanoélectronique
Génie électrique et génie électronique, génie des matériaux et génie métallurgique
Packaging microélectronique, matériaux pour interconnexions et encapsulations
Semi-conducteur, Optique et Photonique, Surfaces, Interfaces et Couches Minces, Capteurs et Dispositifs, Nanomatériaux
Génie électrique et génie électronique, Physique
Surfaces et interfaces semi-conductrices pour la détection de biomolécules chargées électriquement en milieu liquide (virus, bactérie, etc.) ; Technologie laser pour le traitement/la fonctionnalisation de zones sélectives et l’intégration de dispositifs nanophotoniques.
Nanosystèmes, solides, supraconducteurs, surfaces, interfaces et couches minces, transitions de phases, ferromagnétisme, réfrigération magnétique
Croissance d’oxydes à intérêts technologiques sous forme de couches minces (supraconducteurs à haute température critique, manganites et multiferroïques), monocristalline ou polycristalline et de la mesure de leurs propriétés magnétiques et de transport ; fabrication de multicouches, de jonctions et de composants électroniques simples exploitant les propriétés nouvelles émergeant d’effets de proximité aux interfaces
Je suis un théoricien intéressé par la théorie quantique de la matière condensée . Mes intérêts de recherche sont assez larges et sont souvent motivés par le désir d’établir des liens entre différents sujets. J’aime travailler sur des problèmes où des progrès peuvent être réalisés analytiquement, ainsi que développer des idées qualitatives et prédire de nouveaux effets qui pourraient être vérifiés par des expériences. J’aime appliquer les méthodes de la théorie quantique des champs, qui sont essentielles pour comprendre le comportement des électrons en interaction dans les solides.
Mes recherches actuelles portent sur la théorie des matériaux topologiques . Ce sont des isolants, des semi-métaux et des supraconducteurs dont les bandes d’énergie électronique et les fonctions d’onde sont caractérisées par des entiers non nuls appelés invariants topologiques. Les invariants topologiques se manifestent physiquement en vertu d’états électroniques particuliers localisés aux frontières de l’échantillon. En plus d’être un exploit remarquable de la science fondamentale, l’avènement des matériaux topologiques recèle une promesse d’applications pratiques sous la forme d’ordinateurs quantiques à faible décohérence et de dispositifs de spintronique à faible dissipation.
Certains mots clés décrivant mes travaux récents sur les matériaux topologiques sont les suivants : spintronique, transport électrique, modes zéro de Majorana et interactions électron-phonon. Pour plus de détails, veuillez consulter mes publications. Vous pouvez également consulter les vidéos suivantes, où je décris mes recherches pour comprendre l’interaction entre la topologie des bandes électroniques et les phonons.
Professeur agrégé
Département de physique
Pavillon Rutherford
Systèmes basse dimension Nanoélectronique
à haut débit
Modélisation nanoélectronique
Informatique quantique
Supraconductivité Vortex Systèmes désordonnés
Graphène et NTC
Le Dr Patanjali Kambhampati est professeur titulaire au Département de chimie de l’Université McGill et est
un expert internationalement reconnu des matériaux énergétiques et de la science des lasers ultrarapides. Il est né en
Inde et a émigré aux États-Unis à l’âge de 4 ans. Il a fait ses études à St Paul, MN, et est diplômé du Carleton College
en 1992. Il a fait son travail de doctorat à l’Université du Texas à Austin sous la direction d’Alan
Campion où il a fait de la science des surfaces sous ultravide (1998). Dans son PDF au Texas avec Paul Barbara, il
appris la méthode de la spectroscopie ultrarapide et appliqué ces méthodes à la dynamique quantique dans les liquides
(2001 – 2003). Suite à son PDF, il a aidé à démarrer une entreprise de fibre optique soutenue par VC de 40 millions de dollars à Los Angeles
(2001 – 2003)
Il a généré près de 8 M$ en fonds de recherche depuis sa nomination à McGill en 2003. Il a
publié plus de 80 articles avec plus de 7000 citations. Il a animé des colloques départementaux invités en
près de 50 institutions dont : MIT, Princeton, Columbia, Chicago, Northwestern. Il a écrit neuf
des articles de synthèse invités sur l’état du domaine des points quantiques, un livre blanc invité sur la science du laser,
et a eu sept articles primaires publiés dans les médias. Kambhampati a reçu le McGill
Chaire universitaire Fessenden ainsi que le prix Fessenden (2012) pour l’innovation de la recherche vers
activités de commercialisation, suivi du prix Wares (2019). Il a reçu un Lady Davis Visiting
Professeur à l’Université hébraïque de Jérusalem (2020). Il a reçu le prix John Polanyi de
l’Institut de chimie du Canada (2022) pour l’ensemble de ses réalisations dans le domaine de la chimie physique.
Kambhampati possède quatre brevets américains. Il a fait des collaborations en R&D avec plusieurs sociétés dans
Europe et Amérique du Nord : Fastlite (France), NN-Labs (USA), QD Vision (USA), Axis Photonique (Canada),
quelques-cycle Inc. (Canada). Un de ses anciens élèves est un équivalent de professeur adjoint à Fritz Haber
Institut (Berlin). Cinq de ses anciens étudiants sont passés au PDF dans des groupes de premier plan à l’ETH Zurich, Fritz Haber
Berlin, Toronto, MIT, Illinois. Depuis 2005, il a supervisé un éventail d’étudiants très diversifié intellectuellement
du monde entier, couvrant la chimie et la physique. 20 doctorants ont rejoint le groupe à ce jour,
chacun des 13 premiers ayant obtenu son diplôme dans les délais prévus dans les cinq ans.
Jolanta E. Klemberg-Sapieha est professeure agrégée à Polytechnique Montréal et collaboratrice principale de la Chaire industrielle de recherche CRSNG multisectorielle en revêtements et en ingénierie des surfaces au Département de génie physique.
Elle a obtenu ses diplômes de maîtrise et de doctorat en génie chimique et en génie des matériaux de l’Université technique de Lodz, en Pologne. Elle s’est jointe à Polytechnique en 1978. Elle est cofondatrice et actuellement directrice du Laboratoire de métrologie optique et tribo-mécanique (LOTM), et directrice adjointe du Laboratoire des revêtements fonctionnels et d’ingénierie des surfaces (LaRFIS).
Les principaux intérêts de recherche de J.E. Klemberg-Sapieha sont la science et la technologie des couches minces, des surfaces, des interfaces et des systèmes de revêtements. Elle a notamment contribué au domaine des revêtements protecteurs durs et superdurs, des revêtements tribologiques, des propriétés mécaniques et de tribo-corrosion des matériaux, des revêtements sur des matières plastiques, et de l’analyse des surfaces et des interfaces notamment pour des applications aérospatiales, automobiles, biomédicales, optiques et de fabrication industrielle. Sa recherche a donné lieu à plus de 280 publications et à 6 brevets et annonces de découverte.
Directeur intérimaire
Faculté des arts et des sciences – Département de géographie
Complexe des sciences local B-2021
Professeur titulaire
Faculté des arts et des sciences – Département de physique
Complexe des sciences local B-4029
richard.leonelli@umontreal.ca
514 343-7274
Professeur, Faculté de génie
FAC. GÉNIE Électrique et informatique
Circuits intégrés, Micro et nanoélectronique, Micro-ondes et hyperfréquence
Génie électrique et génie électronique
HEMT, HBT, MMIC, Semiconducteurs III-V, physique du composant
semi-conducteur III-V, physique des composants
Anglais, Arabe, Français
(2010). (Habilitation, Habilitation à diriger les recherches). Université de Lille I (Sci. & Tech.).
(1999). (Doctorat, Micro et opto-électronique intégrées). Université de Paris XI (Paris-Sud).
(1993). (Maîtrise sans mémoire, Maitrise).
Richard Martel est détenteur d’une chaire de recherche du Canada sur les nanostructures et interfaces électriquement actives et professeur titulaire au département de chimie de l’UdeM. Il a obtenu un Ph.D. en science des surfaces à l’Université Laval en 1995 et réalisé des études postdoctorales à IBM Research de 1995-1996. Il occupait jusqu’en 2003 un poste de chercheur au IBM T J Watson Research Center (Yorktown Heights, NY). Martel s’intéresse aux phénomènes physico-chimiques dans des nanotubes de carbone et à l’étude des phénomènes de transport et de transfert de charges aux interfaces de nanostructures. Il est depuis quelques années à l’avant-scène de la communauté internationale qui s’intéresse aux nanotubes de carbone.
Professeur de chimie
Université de Montréal
Bureau : B-5021
tél. : 514-343-7342
jf.masson@umontreal.ca
Michel Meunier est professeur titulaire au département de Génie physique et responsable du Laboratoire de plasmonique et de procédés par laser.
Entre ses murs, son équipe s’affaire à créer de nouveaux nanomatériaux et outils biomédicaux, pour la théranostique. Le but : développer des nanoparticules utilisables à la fois pour le diagnostic (l’imagerie médicale et biocapteur) et la thérapie (chirurgie, traitements).
Physicien théoricien, je m’intéresse à toutes sortes de questions reliées à la physique et à la science en général.
Mes travaux portent sur les matériaux complexes, les protéines, ainsi que sur l’énergie et les ressources naturelles et, depuis septembre 2016, je suis directeur académique de l’Institut de l’énergie Trottier, basé à Polytechnique Montréal.
Au cours de 2013, j’ai eu l’honneur de co-présider de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec dont le rapport fut publié au début 2014.
Je m’intéresse également à la vulgarisation et à la communication scientifiques et je reçois chaque semaine une chercheuse ou un chercheur dans le cadre de mon émission radiophonique La Grande Équation.
Vous voulez en savoir plus ? Vous voudriez que je participe à une de vos activités ? N’hésitez pas à explorer ce site ou à me contacter directement.
Tél. : (514) 340-4711 poste 3100Téléc. : (514) 340-3218Local : J-3082
Professeur adjoint
Département de physique, Université de Sherbrooke
Bureau : D9-2017 Lab: D2-0046
Tel : (819) 821-8000 ext. 66476
Courriel : jeffrey.quilliam@usherbrooke.ca
Professeur / Professor
Département de chimie, Université de Montréal
Campus MIL (plan du campus / campus map)
Complexe des sciences, Bureau B-3421
christian.reber@umontreal.ca
Téléphone +1-514-343-7332
orcid.org/0000-0001-9350-7262
2009-présent : Professeur adjoint, Université McGill
2008-2009 : Postdoctorant, Université Brown
2006-2007 : Chercheur postdoctoral, Université technique danoise
2006 : Ph.D. Physique, Université de Princeton
2000: BA Physique, Collège Reed
bureau: Rutherford 409
Recherche : Nanofluidique et biophysique.
Département de physique, Université de Montréal
Complexe des sciences – B-4407
1375 Avenue Thérèse-Lavoie-Roux
Montréal (Québec) H2V 0B3 CANADA
tel. (+1) 514 343 2076
email sjoerd.roorda at umontreal.ca
Le Centre de Physique des Matériaux (CPM), (RQMP),
et le Département de Physique,
Université McGill,
3600, rue Université,
Montreal, Quebec)
H3A 2T8, Canada
TÉLÉPHONE : (514) 398-6534
TÉLÉCOPIE : (514) 398-8434
Phone: (514) 340-4711 Ext. 4858Fax: (514) 340-3218Room: C-512
Clara Santato est professeure titulaire au Département de génie physique de Polytechnique Montréal. Elle a obtenu son doctorat en chimie (« Preparation and Characterization of Nanostructured WO3 Films as Photoanodes in Photoelectrochemical Devices ») en 2001 à l’Université de Genève et son diplôme de Master (« Electropolymerization and Photopolymerization of a Pyrrole-Substituted Ruthenium tris (bipyridyl) Complex « ) en chimie en 1995 de l’Università degli Studi di Bologna. Le travail expérimental a été réalisé en collaboration avec l’Université J. Fourier. Elle a été chercheuse (permanente) à l’Institut des matériaux nanostructurés, qui fait partie du Conseil national italien de la recherche, de 2001 à 2011, et chercheuse invitée (2007-2010) à l’Université Cornell, Département de science et génie des matériaux (Laboratoire Maliaras pour l’électronique organique). En 2006, elle a été chercheuse invitée avec une affectation conjointe entre l’Institut National de la Recherche Scientifique et l’Université McGill (chimie), et en 2005, à l’Université Purdue (chimie).
Member of the Center for the Physics of Materials and the Regroupement québécois sur les matériaux de pointe
Faculté des arts et des sciences – Département de physique
Complexe des sciences local B-4428
luc.stafford@umontreal.ca
514 343-6542
Web : LinkedIn
thomas.szkopek@mcgill.ca
Génie électrique et informatique, Université McGill
Doctorat 2006 UCLA
M. Sc. 2001 Université de Toronto
BEng 1999 Université de Toronto
Professeur titulaire
téléphone : 819-821-8000 poste 62053
télécopieur : 819-821-8046
courriel : david.senechal (@) usherbrooke.ca
bureau : D2-1068
Domaine de recherche :
Théorie de l’état solide, électrons fortement corrélés.
En particulier : développement de méthodes numériques de type ‘amas quantiques’ et application des ces méthodes à l’étude des modèles d’électrons fortement corrélés. Les phénomènes étudiés incluent la supraconductivité, différentes ordres magnétiques et les isolants topologiques.
Originaire de la Nouvelle-Écosse, Paul a étudié à l’Université St Francis Xavier et à l’Université de Western Ontario avant de mener des recherches au Japon et en Californie avant de se joindre à McGill en 2001. Il partage actuellement son temps entre Montréal, sa maison familiale à Chicago et la patinoire de hockey. Ses étudiants ne l’ont jamais vu travailler, mais on leur dit catégoriquement que c’est un processus quantique et qu’il se produit lorsqu’ils ne regardent pas.
Le Dr Zhao est actuellement professeur adjoint au Département de génie électrique et informatique de l’Université McGill. Il a un doctorat. diplômés en génie électrique (McGill) et en physique des solides (Université du Zhejiang), ses études de premier cycle se sont déroulées au Chu-Kochen Honors College de l’Université du Zhejiang. Il est récipiendaire du prix de recherche McGill Peter Silvester, du prix MBE Young Investigator, de la bourse de recherche du Conseil national de recherches et de plusieurs prix MBE Outstanding Paper Award. Ses intérêts de recherche récents incluent l’épitaxie par faisceau moléculaire de nanostructures de nitrure III, la photonique/nanophotonique, l’énergie propre et les technologies quantiques. Il a publié plus de 70 articles dans des revues avec comité de lecture et 60 articles/conférences avec comité de lecture. Il est également co-auteur de 5 chapitres de livre et co-inventeur de 4 brevets.
Je suis un théoricien de la matière condensée travaillant sur des systèmes quantiques fortement corrélés, avec un accent sur la physique axée sur le désordre et l’interaction, et la dynamique hors équilibre. Je m’intéresse également aux problèmes liés au contrôle quantique et à l’information quantique. Quand c’est possible, je trouve très gratifiant de collaborer avec des expérimentateurs ; Dans un passé récent, j’ai travaillé sur un large éventail de problèmes, notamment la découverte des propriétés des défauts topologiques dans les ferromagnétiques Hall quantiques dans le bismuth, le rayonnement phononique Cherenkov dans le graphène et la compréhension de la dynamique de phase des gaz de Bose sur les puces atomiques.
Faculté des arts et des sciences – Département de physique
Complexe des sciences local B-4423
Web : Google Scholar
Web : Autre site web
Master
2010 , Physique , Université Henri Poincaré Nancy I (France)
Doctorat
2013 , Physique , Université de Lorraine (France)
Département de génie chimique
Université McGill Génie
chimique Pavillon
MH Wong
3610, rue University
Montréal (Québec) H3A 0C5
2006-2010 : Doctorat. (Génie chimique), Université de la Colombie-Britannique , Vancouver, Canada
2000-2006 : Dipl. Ing. (Génie chimique et gestion), TU Berlin , Allemagne
Je suis actuellement professeur adjoint à l’Université de Montréal, Département de chimie. Ma motivation première est de découvrir et de mettre en œuvre la chimie nécessaire à la transition vers une société durable basée sur l’énergie. Plus précisément, je développe des matériaux pour convertir l’énergie solaire en combustibles chimiques comme moyen de stockage d’énergie. Transformer l’énergie solaire en liaisons chimiques nécessite un fonctionnement efficace et synchrone de plusieurs processus ainsi qu’une compréhension fondamentale de la chimie sous-jacente à l’œuvre. Actuellement, les catalyseurs qui utilisent l’électricité d’origine solaire pour générer des carburants chimiques n’ont pas les performances nécessaires pour rendre cette technologie pratique. Dans ce cadre, mes recherches portent à la fois sur la conception de nouveaux matériaux électrocatalytiques et sur des investigations spectroscopiques in situ. L’objectif ici est d’établir un cycle itératif où de nouveaux matériaux sont d’abord synthétisés et systématiquement testés, puis sondés par des méthodes spectroscopiques pour développer une compréhension globale des relations structure/fonction des matériaux. Les leçons générées peuvent ensuite être intégrées au prochain cycle de conception, de synthèse et de compréhension pour accélérer la vitesse à laquelle les défis urgents en matière d’énergie et de matériaux peuvent être relevés.
Audrey Laventure est professeure adjointe au Département de chimie de l’Université de Montréal et est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les matériaux polymères fonctionnels. Son expertise se situe à l’intersection de la chimie physique et de la chimie des matériaux. Elle a complété son stage postdoctoral en tant que boursière du CRSNG à la University of Calgary et son doctorat en tant que boursière Vanier du CRSNG à l’Université de Montréal, dont l’excellence a été soulignée par la Médaille d’or de la Gouverneure générale du Canada, ainsi que par le Prix de la meilleure thèse de la Faculté des études supérieures et postdoctorales. Récompensée pour son excellence en enseignement (prix André Beauchamp), elle a tout au long de son parcours universitaire démontré un vif intérêt pour les nouvelles méthodes pédagogiques et d’apprentissage. Engagée, Audrey s’implique régulièrement dans des activités de vulgarisation scientifique et de mentorat. Elle fut aussi la première Innovation Postdoctoral Fellow de la Faculty of Science à la University of Calgary – un prix soulignant son implication dans le monde du transfert technologique, tant au doctorat (programme Technopreneur du Centre d’entrepreneuriat Poly-UdeM) qu’au stage postdoctoral (programme Energy Innovator de Innovate Calgary).
Stephan Reuter est professeur agrégé de physique des plasmas et de spectroscopie au Département de génie physique de Polytechnique Montréal et titulaire de la chaire TransMedTech pour la médecine des plasmas. Il est ancien élève de la Fondation Alexander von Humboldt.
De 2017 à 2018, il a été Feodor-Lynen Fellow à l’Université de Princeton. Il a créé le groupe de recherche en physique « plasmatis » pour la médecine du plasma à l’Institut Leibniz pour la science et la technologie du plasma INP Greifswald, Allemagne. Il a été professeur invité à l’Université Paris-Sud/Paris-Saclay et à l’Université technique de Lublin, en Pologne, et a été chargé de recherche au centre de physique des plasmas de l’Université Queen’s de Belfast, au Royaume-Uni.
Ses recherches portent sur l’interaction des plasmas non thermiques avec les liquides et les méthodes de diagnostic telles que la spectroscopie laser ultrarapide, l’imagerie spectrale et les techniques à un coup. Les domaines d’application étudiés sont les plasmas pour la médecine, l’environnement et la synthèse de matériaux.
Maître assistant
Département de physique de l’Université McGill
Courriel : enfants à physics.mcgill.ca
bureau: Rutherford 431
tél. : (514) 398-2292
Bienvenue ! J’étudie les propriétés quantiques des systèmes de matière condensée à l’échelle nanométrique et comment utiliser ces systèmes pour le traitement de l’information quantique. Je suis professeur agrégé de physique à McGill. Je suis membre du Centre de Physique des Matériaux de McGill ainsi que de deux Regroupements Stratégiques : INTRIQ et RQMP. Je recrute actuellement activement des étudiants diplômés motivés. Si vous êtes intéressé, contactez moi s’il-vous-plaît!
Le professeur Michael R. Wertheimer est diplômé de l’université de Toronto (BASc en génie physique, 1962; MA en physique, 1963) et il détient un Ph.D. de l’université Joseph-Fourier de Grenoble (1967) en supraconductivité.
Actuellement professeur émérite (depuis 2005) en génie physique et génie biomédical, il a été titulaire d’une Chaire de recherche industrielle CRSNG en « procédés plasma pour le traitement des matériaux » au département de génie physique (1996-2006). Il est professeur à Poly depuis 1973, après avoir passé plus que six ans en recherche industrielle chez l’Air Liquide (Canada) Ltée. à Montréal.
Le Dr. Wertheimer est Fellow de l’académie canadienne du génie (FCAE), de la IEEE (FIEEE) et de la « International Plasma Chemistry Society » (FIPCS), dont il est récipient du « Plasma Chemistry Award » (en 2013); il a été boursier Killam (1990-1992). Il est co-éditeur-en-chef de la revue Plasma Processes and Polymers et auteur ou co-auteur d’environ 450 articles, d’une vingtaine de brevets et il a édité ou co-édité cinq livres.
Notre programme de recherche est axé sur la modélisation de systèmes à l’échelle nano à méso dans lesquels le désordre moléculaire n’est pas une perturbation mais l’histoire entière. Nous combinons les techniques de simulation traditionnelles avec l’apprentissage automatique pour atteindre la portée et la précision nécessaires et nous collaborons avec des groupes expérimentaux sur la prédiction et l’interprétation des observations.
Notre objectif est de découvrir de nouvelles propriétés et de nouvelles applications dans les nanotechnologies et les biotechnologies pour la classe difficile mais énorme des matériaux désordonnés allant du graphène amorphe aux séquences biologiques synthétiques (ssDNA, peptides).
Faculté des arts et des sciences – Département de physique
Complexe des sciences local B-4447
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BSc Physique (2009) – Université de Montréal
PhD Génie Physique (2016) – Polytechnique Montréal
Postdoctorat (2016-2020) – CNRS / Université Paris-Saclay